En France, les douleurs représentent environ 75% des consultations médicales, dans lesquelles 30% des patients souffrent de douleurs chroniques souvent résistantes aux analgésiques usuels et compromettant significativement leurs conditions de vie.

L’OMS a défini 3 paliers principaux pour classifier et pour utiliser les analgésiques en tenant compte de l’intensité de la douleur.

Le palier I regroupe les médicaments qui ont la puissance antalgique la plus faible et qui sont recommandés pour traiter les douleurs faibles ou modérées, comme les maux de tête, les douleurs dentaires et les règles douloureuses. On peut citer par exemple le paracétamol, l’ibuprofène, l’aspirine, etc.

Le palier II est prescrit pour soulager des douleurs d’intensité modérée à sévère. Il agit sur la perception de la douleur au niveau du cerveau. On peut l’administrer seul ou l’accompagner avec un médicament du premier palier

Le palier III concerne les antalgiques adaptés au soulagement des douleurs sévères. Les traitements sont entre autres la morphine l’oxycodone, la nalbuphine, l’hydromorphone, la péthidine, la buprénorphine et le fentanyl.

De nombreux moyens existent pour calmer ces souffrances et retrouver une sensation de Bien être et de bonne santé. Les médicaments antalgiques sont des traitements principalement prescrits et classés en fonction de l’intensité, mais leurs effets indésirables parfois graves incitent de nombreux patients à se tourner vers d’autres produits et soins anti-douleur naturels sans ordonnances comme l’huile de CBD ou les médecines alternatives comme la phytothérapie, la physiothérapie, la psychothérapie.

Pour prendre en charge efficacement la douleur, le médecin doit tenir compte de son type, de son mécanisme, de son évolution et de ses caractéristiques. Les stratégies thérapeutiques ne sont donc pas identiques si la douleur est aigüe ou chronique, issue de migraine, rhumatisme, douleur cancéreuse, post opératoire, ou autre.

Les antalgiques opioïdes (codéine, morphine)

Les antalgiques centraux de palier II et III sont destinés aux douleurs modérées à intenses. Ils ne sont délivrés que sur prescription médicale et ne peuvent être consommés sans avis médical. Ces antalgiques sur prescription regroupent les antalgiques opioïdes faibles (codéine, tramadol) souvent combinés aux antalgiques de palier I, recourus en cas de souffrances moyennes à intenses et les opioïdes forts (morphine et dérivés) conçus pour soulager les douleurs très sévères ou rebelles aux antalgiques de palier II.

Ces antalgiques peuvent entrainer des effets indésirables, surtout en cas de surdosage à type de toxicité hépatique pour le paracétamol, de troubles digestifs pour les AINS, une somnolence mais aussi un risque accru de dépendance pour les antalgiques opioïdes.

Les antalgiques opioïdes
médicaments analgésiques

Les médicaments analgésiques périphériques de palier I

Ces médicaments analgésiques sont commercialisés sans ordonnance et peuvent être employés en automédication pour traiter les douleurs légères à moyennes, incluant le paracétamol et les AINS ou Anti-Inflammatoire Non-Stéroïdiens (ibuprofène, aspirine, etc.).

A noter que les effets antalgiques et anti-inflammatoires de l’huile de CBD anti douleur ont été rapportés par de nombreux patients souffrant de problèmes chroniques causés par certaines maladies comme les rhumatismes (arthrite ou arthrose), la sclérose en plaques, la fibromyalgie, l’endométriose, un mal de dos ou problème dentaire. Quelques gouttes d’huile de CBD antidouleur peuvent ainsi améliorer les douleurs au dos, les sciatiques, les souffrances musculaires et articulaires, diminuer les migraines et les douleurs menstruelles ou neuropathiques. La prise se fait par voie orale en déposant quelques gouttes sous la langue ou être appliquée en massage sur la région douloureuse.

Les produits naturels

Les produits naturels et médecine douce sont un type de traitement alternatif à la prise de médicaments pour soulager les douleurs. Les antidouleurs naturels présentent l’avantage de ne pas provoquer d’effets secondaires chez les patients. Avec les produits naturels, le risque de dépendance est quasiment nul. Toutefois, il est recommandé de bien suivre les recommandations du médecin ou des notices.

Les produits naturels

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